SYLVAIN
Oeuvre
- SILVAIN
Sources
Sylvain, comédie en 1 acte mêlée d'ariettes, Paris, aux dépens de la compagnie, 1770.
BM La Rochelle, Fonds ancien, 27318 C.
Représentation(s)
L'œuvre fait partie du répertoire de la troupe du directeur Sélignan pour l'année théâtrale 1817-1818.
L'œuvre fait partie du répertoire de la troupe du théâtre de Béziers, dirigée par Alexandre Galland, pour l'année théâtrale 1822-1823.
La pièce fait partie du répertoire théâtral de 624 pièces que se propose de faire jouer, pour la saison 1813-1814, le directeur breveté du 39e arrondissement théâtral Singier.
En 1814, la pièce fait partie du répertoire de la troupe secondaire du 34e arrondissement théâtral dirigée par Deresmond.
En 1813, l'œuvre fait partie du répertoire théâtral de la troupe ambulante du 34e arrondissement théâtral correspondant à la Charente, la Corrèze, la Dordogne et la Haute-Vienne.
BM Sarthe; Journal, affiches, annonces, etc... du département de la Sarthe, 25 juin 1808, n°35
La pièce est jouée par la troupe du directeur Sélignan, aux frais de 111 F 05 pour une recette de 401 F 90.
AD Gard, JR356/2, Journal du Gard, 9 octobre 1813, n°454.
"Les artistes de ce théâtre ont payé leur tribut à la mémoire de Grétry : ils donnèrent hier en son honneur, Le Sylvain [...]. On aplaudit beaucoup à cette manière simple et vraie de rendre hommage à la mémoire d'un compositeur si justement regretté. [...] L'orchestre va ordinairement très bien; la nouvelle disposition des instruments est sans doute une amélioration dans cette partie [...]."
Cette pièce, jouée par la troupe de Degarron avec une autre œuvre lors de la même soirée, a engendré pour la compagnie des frais de 78,25F pour 24,40F de recettes.
La pièce est jouée par la troupe du directeur Sélignan, aux frais de 107 F 40 pour une recette de 302 F 40.
AD 31, Journal de la Haute-Garonne
AD Haute-Garonne, Presse, Journal de la Haute-Garonne, 12 février 1814.
Depuis quelque temps nous avons vu jusqu’à satiété le Sylvain. On se rappellera avec tout l’intérêt que cela doit inspirer, qu’en 1770, Marmontel s’en déclara le père , et légitima en même temps le Huron et Lucile, enfans exposés , reniés à leur naissance. La musique de Grétry fait presque tout le mérite du Sylvain dont le titre même présente une idée fausse. Lors de sa première représentation, le duc de Noailles prétendit que son résultat en deux mots était qu’il faut épouser sa servante et laisser braconner ses paysans. Ce jugement est le plus juste qu’on puisse porter sur cette pièce, mal imitée de l’Eraste de Gessner.
Tout cela n’a pas empêché que le parterre ne trouvât Madame Blonval agréable, eût su gré à Fusier de ses louables efforts : si M.lle Berdoulet a chanté faux, c’est sa faute il est vrai ; mais elle est plus excusable que ceux qui la présentent pour d’autres choses que pour des utilités.
AD Haute-Garonne, Presse, Journal de la Haute-Garonne, 15 janvier 1814.
La troupe de Sélignan joue la pièce aux frais de 105F, pour une recette de 138,5F.