MAISON À VENDRE
Oeuvre
Sources
Maison à vendre, comédie en 1 acte et en prose mêlée de chants, Paris, Chez Vente, 1800.
BM Amiens, BL 2060/17(11) A.
Représentation(s)
La pièce fait partie du répertoire théâtral du directeur Sélignan, pour l'année théâtrale 1813-1814.
La pièce fait partie du répertoire théâtral de 624 pièces que se propose de faire jouer, pour la saison 1813-1814, le directeur breveté du 39e arrondissement théâtral Singier.
En 1815, cette pièce fait partie du répertoire théâtral de la troupe régie par Deresmond, de passage à Tulle.
L'œuvre fait partie du répertoire de la troupe du directeur Sélignan pour l'année théâtrale 1817-1818.
L'œuvre fait partie du répertoire de la troupe du théâtre de Béziers, dirigée par Alexandre Galland, pour l'année théâtrale 1822-1823.
Affiches du Mans, Annonces &c. du département de la Sarthe, n°35, 25 ventôse an IX.
Le succès constant de ce charmant ouvrage, l'a placé au premier rang parmi les nouveautés qui ont enrichi cette année le répertoire du théâtre national Favard.
Affiches du Mans, Annonces &c. du département de la Sarthe, n°26, 10 pluviôse an X.
"Demain l'ouverture du spectacle par la Belle Arsène & la Maison à vendre."
AD Haute Garonne, Administratif, Judiciaire, Affiche, 3 août 1809.
AD du Gard, JR356/1, Le Journal du Gard, 11 Mai 1811, n°328.
La pièce a été joué le même jour que La Fausse Magie et Jeannette ou Les Battus ne payent pas toujours l'amende.
M. Faget joue le rôle de Dermont.
M. Beck joue le rôle de Versac.
Mlle Gérault-Lapérière joue le rôle de Elise.
AD Gard, JR 356/2, Journal du Gard, 28 août 1813, n°448.
La pièce à été jouée le même jour que L'Opéra Comique et Alexis ou L'Erreur d'un bon Père.
" M.lle Cazal, que nous ne jugerons effectivement que comme chanteuse, a fait entendre une voix agréable, flexible, un peu sourde dans le bas, mais éclatante et belle dans les tons hauts ; elle chante la roulade avec beaucoup de facilité ; elle exécute enfin parfaitement, si l'on peut s'exprimer ainsi, la partie mécanique du chant : avec plus d'ame, plus d'expression, elle ne laisserait rien à désirer sous ce rapport, et gagnerait beaucoup d'un autre côté. Mais ce que nous indiquons là ne s'acquiert pas.
M. Laberthe, haute-contre, Philippe et Gavaudan, a joué dans tous les pièces que nous avons citées, et n’a été déplacé nulle part, quoiqu’il y ait des rôles qui ne soient pas précisément de son emploi. Cet acteur parait avoir l’usage de la scène ; sa voix et son jeu, sans offrir rien de bien saillant, se prêtent à différens tons, et il ne peut qu’être d’une grande utilité. "
Cette pièce, jouée par la troupe de Degarron avec deux autres œuvres lors de la même soirée, a engendré pour la compagnie des frais de 81,05F pour 59.95F de recettes.
AD 159/15, Journal des Deux-Sèvres, 14 mai 1814, N°20
L'œuvre est jouée par la troupe de Sélignan, engendrant pour la compagnie 81 F 75 de frais, pour une recette de 334 F 95.