LE TRAITÉ NUL
Oeuvre
Sources
Le Traité nul, comédie en 1 acte et en prose mêlée d'ariettes, Paris, Chez Huet, 1797.
BM Avignon, 8° 61 415.
Représentation(s)
L'œuvre fait partie du répertoire de la troupe du directeur Sélignan pour l'année 1815-1816.
L'œuvre fait partie du répertoire général du théâtre d'Angoulême pour l'année théâtrale 1815-1816.
La pièce fait partie du répertoire du directeur Julien, pour l'année théâtrale 1812-1813.
En 1813, cette pièce fait partie du répertoire de plus de 330 œuvres que le directeur Degarron souhaite faire jouer à sa troupe, stationnée à Nice.
L'œuvre fait partie du répertoire de la troupe du directeur Sélignan pour l'année théâtrale 1817-1818.
La pièce fait partie du répertoire théâtral du directeur Sélignan, pour l'année théâtrale 1813-1814.
L'œuvre fait partie du répertoire de la troupe du théâtre de Béziers, dirigée par Alexandre Galland, pour l'année théâtrale 1822-1823.
La pièce fait partie du répertoire théâtral de 624 pièces que se propose de faire jouer, pour la saison 1813-1814, le directeur breveté du 39e arrondissement théâtral Singier.
AD Maine-et-Loire, Affiches d'Angers, 22 ventôse an VIII.
AD Maine-et-Loire, Affiches d'Angers, le 3 germinal an VIII.
AM Maine-et-Loire, 72 JO art. 1, Affiches d'Angers, 24 novembre 1803.
Aujourd'hui Clémence et Valdemar, drame nouveaux en trois actes, précédé du Traité nul, opéra en deux actes.
AM Maine-et-Loire, 72 JO art. 1, Affiches d'Angers, 6 décembre 1803.
Aujourd'hui l'Hôtellerie de Sarzano, opéra nouveau, et le Traité nul, opéra.
Journal du département de l'Aisne, n° 531, 13 juin 1811
AD Gard, JR356/1, Journal du Gard, 19 octobre 1811, n°351.
Mlle. Primo interprète le rôle de Pauline.
AD Gard, JR356/1, Le Journal du Gard, 5 octobre 1811, n°349
"Nous reviendrons encore sur un reproche qu'on a souvent lieu de faire à certains acteurs, celui de paraître en scène sans savoir leurs rôles. Ce défaut de mémoire, qui n'est que défaut d'étude et négligence, s'accroît en raison de l'indifférence avec laquelle on le tolère ; il est commun à quelques-uns de nos artistes ; mais nous ne citerons en passant que la manière dont fur débitée en dernier lieu la grande partie du rôle de Simonin dans Le traité nul, l'acteur ne faisait souvent que bredouiller et répéter vingt fois les mêmes mots, qui peut-être encore ne se trouvaient pas dansla pièce. Mais ce qu'il y a de plus choquant en cela, c'est que rien, si ce n'est l'indulgence du public, n'égale le flegme et l'espèce de sécurité que conservent ceux qui manquent ainsi à leur premier devoir ; ils se font un jeu de défigurer les pièces ; et si on les laisse faire, ils finiront par ne nous donner que des dialogues improvisés et des ouvrages de leur façon."
La pièce a été jouée le même jour que Rien de trop.
AD Gard, JR356/1, Le Journal du Gard, 5 octobre 1811, n°349
AD, 159/15, Journal des Deux-Sèvres, 9 juillet 1814, N°28
L'œuvre est jouée par la troupe dirigée par Cocatrix de Franlieu. La représentation engendre des frais de 71,05F pour une recette de 73,50F.