LE MARIAGE DE FIGARO
Oeuvre
- La Folle journée
Sources
Le Mariage de Figaro ou La Folle journée, comédie en 5 actes et en prose, Lyon, [d'après la copie envoyée de l'auteur], 1785.
BM Lyon, 359472 CGA.
Représentation(s)
La pièce fait partie du répertoire théâtral du directeur Sélignan, pour l'année théâtrale 1813-1814.
La pièce fait partie du répertoire du directeur Julien, pour l'année théâtrale 1812-1813.
En 1813, cette pièce fait partie du répertoire de plus de 330 œuvres que le directeur Degarron souhaite faire jouer à sa troupe, stationnée à Nice.
La pièce fait partie du répertoire théâtral de 624 pièces que se propose de faire jouer, pour la saison 1813-1814, le directeur breveté du 39e arrondissement théâtral Singier.
L'œuvre fait partie du répertoire de la troupe du directeur Sélignan pour l'année 1815-1816.
L'œuvre fait partie du répertoire de la troupe du directeur Sélignan pour l'année théâtrale 1817-1818.
Voir Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Mariage_de_Figaro
La représentation du "Mariage de Figaro" à Orléans est interdite le 3 septembre 1808.
Journal du département des Deux-Sèvres. N.°32. Jeudi 1 mars 1804. Page 255.
" Le Mariage de Figaro. Pièce qui a valu 100 mille écus à Beaumarchais & qui a été jouée malgré la Cour, dont elle est une satyre sanglante. Cette pièce perd de son mérite en perdant le sujet des allusions caustiques dont elle est remplie. "
BM Sarthe, Journal, affiches, annonces etc. du département de la Sarthe, n°72, 30 décembre 1809
Un compte-rendu du Journal, affiches, annonces etc. du département de la Sarthe, la pièce a été appréciée, en particulier la prestation de M. Degarron dans le rôle de Figaro, duquel "il a su vaincre difficultés", "parfaitement secondé par tous ses collègues".
AD de l'Aisne, 4 MI 44, Journal de l'Aisne, 11 juillet 1812 n°667.
"Le Mariage de Figaro, pièce fortement intriguée et exigeant une grande réunion d'artistes, a été joué avec tout l'ensemble qu'on pouvait désirer : Mad. Kuntz, dans le rôle de Suzanne, a déployé toute la finesse et les graces qu'on lui connaît, et qu'en bonne mère, elle transmet à sa fille qui a joué avec infiniment d'agrement celui de Fanchette."
Lettre du préfet de la Dordogne adressée au ministre de l'Intérieur à laquelle est joint un état des recettes et des frais, certifié conforme par le régisseur de la troupe, Chevalier, datée du 5 août 1813. Citée par R. VILLEPELET, « Le théâtre en Dordogne au début du XIXe siècle », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, tome LXII, 1935, p. 263-268.
Le 5 août 1813, le préfet de la Dordogne se félicite de ce que le directeur du 34e arrondissement théâtral « M. [Bonnet -] Beauval avait envoyé à Périgueux une troupe de comédie dont le début a eu lieu le 4 juillet et la clôture le 4 août », troupe qui « a montré beaucoup de zèle ». Joint à sa lettre, un état des recettes et des frais, dressé par le régisseur de la troupe, Chevalier, nous apprend que, du 4 juillet au 4 août, 17 représentations ont été données, dont celle du 15 juillet (Le Mariage de Figaro et Molière chez Ninon). Au total, la troupe essuie des pertes : 3 983 F de recettes, 4 752 F 25 de frais, dont 2 800 pour les appointements des comédiens.
L'œuvre a été jouée par la troupe du directeur Juclié, aux frais de 82F40 pour une recette de 277F30.
L'œuvre a été jouée par la troupe du directeur Juclié, aux frais de 121F35 pour une recette de 208F10.
L'œuvre a été jouée par la troupe du directeur Juclié, aux frais de 72F15 pour une recette de 124F65.
L'œuvre a été jouée par la troupe du directeur Juclié, aux frais de 120F65 pour une recette de 485F10.
L'œuvre a été jouée par la troupe du directeur Juclié, aux frais de 122F05 pour une recette de 115F40.
Malgré les interdictions qu'il a reçues, l'acteur Perlet a déclamé tout entier le monologue "sur la censure et aussi ailleurs le passage où Figaro dit : "Suis-je un soldat qui tue et se fait tuer pour des intérêts qu'il ignore ? Je veux savoir pourquoi je me fâche"".