FROSINE
Oeuvre
- LA DERNIÈRE VENUE
Sources
Frosine ou La Dernière venue, comédie en 1 acte et en prose mêlée de vaudevilles, Paris, chez Brunet, an IX.
Représentation(s)
Vers 1810, cette œuvre fait partie de la troupe du régisseur Deidier, de passage à Tulle.
En 1813, cette pièce fait partie du répertoire de plus de 330 œuvres que le directeur Degarron souhaite faire jouer à sa troupe, stationnée à Nice.
La pièce fait partie du répertoire théâtral de 624 pièces que se propose de faire jouer, pour la saison 1813-1814, le directeur breveté du 39e arrondissement théâtral Singier.
En 1814, la pièce fait partie du répertoire de la troupe secondaire du 34e arrondissement théâtral dirigée par Deresmond.
Aux alentours de 1825, la pièce fait partie du répertoire de 41 ouvrages que se proposent de jouer Mlle. Bourson, âgée de 11 ans, et la troupe conduite par son père.
Créée le 15 décembre 1800 au Théâtre du Vaudeville.
La représentation de Frosine est suivie de celle de La Cloison, ou Beaucoup de peine pour rien, comédie nouvelle en un acte, puis de La Folle par amour, opéra en un acte.