MA TANTE AURORE
Oeuvre
- LE ROMAN IMPROMPTU
Sources
Ma Tante Aurore ou Le Roman impromptu, opéra-bouffon en 2 actes, Lyon, Garnier, [s.d.].
BM Lyon, Rés FM 167279 CGA.
Représentation(s)
En 1813, cette pièce fait partie du répertoire de plus de 330 œuvres que le directeur Degarron souhaite faire jouer à sa troupe, stationnée à Nice.
La pièce fait partie du répertoire théâtral de 624 pièces que se propose de faire jouer, pour la saison 1813-1814, le directeur breveté du 39e arrondissement théâtral Singier.
La pièce fait partie du répertoire théâtral du directeur Sélignan, pour l'année théâtrale 1813-1814.
AD. DEUX SEVRES 8 PER 159/11, Journal des Deux-Sèvres, samedi 12 mai 1810, n°19
"On ne fait qu'apercevoir Mad. Dancourt."
En 1814, la pièce fait partie du répertoire de la troupe secondaire du 34e arrondissement théâtral dirigée par Deresmond.
La pièce fait partie du répertoire du directeur Julien, pour l'année théâtrale 1812-1813.
L'œuvre fait partie du répertoire de la troupe du directeur Sélignan pour l'année 1815-1816.
L'œuvre fait partie du répertoire de la troupe du directeur Sélignan pour l'année théâtrale 1817-1818.
L'œuvre fait partie du répertoire de la troupe du théâtre de Béziers, dirigée par Alexandre Galland, pour l'année théâtrale 1822-1823.
AM Maine-et-Loire, 72 JO art. 1, Affiches d'Angers, 26 novembre 1803.
Aujourd'hui Le Baron de Crac, dans son Petit Castel, ou les Gascons, comédie en un acte ; et ma Tante Aurore, ou le Roman Impromptu, opéra nouveau en deux actes.
Journal du département de l'Aisne, n° 531, 13 juin 1811
AD Gard, JR 356/2, Journal du Gard, politique, administratif et littéraire, 3 avril 1813.
AD Gard, JR 356/2, Journal du Gard, politique, littéraire et administratif, 22 mai 1813.
AD Gard, JR356/2, Journal du Gard, 8 Janvier, 1814, N°467.
" [...] un des plus jolis opéra qu'on ait faits depuis long-tems : c'est vraiment un opéra comique ; tout y est plaisant, les situations et les personnages. Mme Juclié joue la Tante avec ce talent, ce ton de vérité qu'elle met dans tous ses rôles ; il est dommage que son embonpoint, sa fraîcheur, la gaieté de sa physionomie, contrastent avec le tempérament qu'on désirerait trouver dans le personnage de cette vieille folle ; mais elle ne peut pas, pour le bien du rôle, changer sa constitution ; elle y aurait d'ailleurs trop à perdre. "