En 1806, la ville de Castelnaudary possède "une très jolie salle de spectacle, d'un espace relatif à [sa] population [...] se portant qu'à neuf mille âmes", ce qui ne permet guère de supporter les frais d'une troupe fixe toute l'année. Cela explique sans doute pourquoi "cette salle est rarement occupée", en 1813. Cette année-là, le loyer auquel sont soumis les comédiens est fixé à deux francs par représentation.
En 1806, la ville de Castelnaudary possède "une très jolie salle de spectacle, d'un espace relatif à [sa] population [...] se portant qu'à neuf mille âmes", ce qui ne permet guère de supporter les frais d'une troupe fixe toute l'année. Cela explique sans doute pourquoi "cette salle est rarement occupée", en 1813. Cette année-là, le loyer auquel sont soumis les comédiens est fixé à deux francs par représentation.