Dans une lettre datée du 26 décembre 1812, le préfet de la Dordogne, répondant à une circulaire du ministre de l'Intérieur visant à connaître le fonctionnement des entreprises théâtrales, évoque la salle de spectacle d'Excideuil ainsi que celles de Bergerac, Montignac, Périgueux et Sarlat. D'après ce dernier, celles-ci sont « généralement petites, mal distribuées et aussi incommodes que laides. » Le préfet ajoute que l'hospice d'Excideuil est propriétaire de la salle. « Dans les autres villes [que Périgueux], précise enfin le préfet, le prix du loyer est de 6 à 12 francs, sans aucune charge pour les propriétaires des salles. Le prix du loyer est prélevé sur le produit de chaque représentation. »
Dans une lettre datée du 26 décembre 1812, le préfet de la Dordogne, répondant à une circulaire du ministre de l'Intérieur visant à connaître le fonctionnement des entreprises théâtrales, évoque la salle de spectacle d'Excideuil ainsi que celles de Bergerac, Montignac, Périgueux et Sarlat. D'après ce dernier, celles-ci sont « généralement petites, mal distribuées et aussi incommodes que laides. » Le préfet ajoute que l'hospice d'Excideuil est propriétaire de la salle. « Dans les autres villes [que Périgueux], précise enfin le préfet, le prix du loyer est de 6 à 12 francs, sans aucune charge pour les propriétaires des salles. Le prix du loyer est prélevé sur le produit de chaque représentation. »